Mardi 30 Décembre 2003 Break
Stop? by Eglantine 00:40 Mardi 23 Décembre 2003 Flash-back(s) La première fois que je l'ai embrassé, c'était à l'extérieur. Il faisait froid et je ne portais pas de manteau. Il était sorti prendre l'air, parce que trop chaud à l'intérieur. Je l'avais suivi, je savais que c'était moi qui lui donnait trop chaud. On a échangé deux mots. Je me suis retournée et il s'est approché de moi pour m'embrasser. Trop de monde dehors. Je l'ai entraîné ailleurs. La première fois que je l'ai vu, je l'ai reconnu tout de suite. Je n'ai pas arrêté de lui parler, de rire, je ne voulais pas de silences, pas de gêne. En marchant, je ne pouvais pas voir ses yeux, c'était mieux comme ça. J'ai mis du temps avant d'oser rencontrer son regard. Il me regardait sans cesse et je ne savais pas ce qu'il pouvait voir en moi. Il avait l'habitude de me toucher, partout, n'importe où, n'importe quand. Chez lui, il pouvait faire ce qu'il voulait. Mais une fois sortis, je l'empêchais de me toucher à certains endroits. Parfois, je ne pouvais pas résister et on se retrouvait dans sa voiture ou ailleurs. J'avais l'habitude de ne jamais rien lui refuser, parce qu'il était le premier. Le premier à me faire jouir. Je me rappelle que pendant un mois, je ne pensais qu'à lui sauter dessus en le voyant. Je me collais à lui et m'offrais à lui sans retenue. Au bout d'un mois, j'avais toujours cette envie. De le toucher, de le sentir, de l'avoir en moi. A 7h du matin après une longue soirée, on s'est retrouvé seuls dans sa voiture. Dans le parking, il a eu tellement envie qu'il a sauté sur moi. On a fait l'amour puis on est monté chez lui, où on a refait l'amour. Quand j'étais sur lui, je me disais : Putain merde je suis en train de baiser avec A. Ouah. Stop? by Eglantine 15:10 Dimanche 21 Décembre 2003 Comment expliquer que je vais SI bien ? Je me sens tellement vivante. C'est tout. Stop? by Eglantine 21:11 Méli
mélo Je vous en prie Scott, ne me dîtes pas qu'une aussi belle femme n'a personne dans sa vie. Stop? by Eglantine 21:02 Des petits
riens Et celle que je ne cesserai jamais d'aimer. Stop? by Eglantine 01:07 Han ku
J'ai appris plein de choses ce soir. Un de mes cousins se marie le 15 janvier avec une jeune femme de Shanghaï et un autre cousin sort avec une chanteuse de jazz... toujours à Shanghaï. J'en ai profité pour donner ma "grande" nouvelle. Un CDD de 3 mois à partir du 5 janvier et mon salaire mirobolant. Enfin, un salaire historiquement jamais atteint dans ma vie. J'ai beaucoup bu, dis beaucoup (trop) de conneries et me suis amusée comme une enfant. En tous cas, ça faisait longtemps que je n'avais pas passé un moment comme ça avec eux. C'est bizarre comme on peut être différent selon les gens qui nous entourent. Je suis contente d'avoir été complètement moi-même et de faire découvrir une partie de moi à des gens qui me sont chers et important. Bien que je ne leur dise pas tout, hors de propos. Stop? by Eglantine 00:44 Samedi 20 Décembre 2003 Behind
my own choices Il ne faut pas oublier que je suis aussi comme tout le monde. Je dis des conneries. Je me trompe. Je doute. Parfois. La différence, c'est que je me fous un peu de tout. J'aime ce que je suis et les autres aussi. C'est tellement simple avec moi. Pas de questions et pas de complications. Je donne ce que j'ai, je ne peux pas plus. Apparemment, c'est déjà beaucoup. Stop? by Eglantine 17:21 Vendredi 19 Décembre 2003 Gratification
Stop? by Eglantine 13:43 Lundi 15 Décembre 2003
Probabilité Stop? by Eglantine 21:47 Rien
Stop? by Eglantine 11:05 Jeudi 11 Décembre 2003 Putain
de bordel de purée de pois chiches ou putain de bordel de houmous
Stop? by Eglantine 02:13 Lundi 8 Décembre 2003 Une douleur qui m'a réveillée un matin, s'est nichée au creux de mon épaule pour descendre entre mes reins. Je ne lui donnerais pas le mauvais rôle, je sais qu'elle est symptomatique de maux psychosomatiques. Mais depuis trois jours, elle s'installe et continue à me faire mal. Les épaules, le coccyx et le sacrum n'ont de repos qu'après trois verres de rhum. Et voilà qu'elle remonte dans sa niche, m'interdisant de regarder à gauche. Je souffres tellement, je n'ai rien fait pourtant. Ce sont juste les nerfs qui ont perdu leur chemin et mêlé leurs mains. Pour passer, ils ont soulevé un muscle puis un autre, je me retrouve avec des noeuds de nerfs et de muscles avec lesquels je dois me débattre. Assise, allongée ou debout, j'ai toujours un peu mal partout. Mais que faire, que faire ? J'aimerais pouvoir m'en défaire et sur le champ. Comme c'était mieux avant, je laissais le mal partir de lui-même sans l'y contraindre. Mais cette fois, j'y ai mis les mains et emprunter celles des autres. Faire pénétrer la crème, masser, toutes les armes étaient réunies pour le combattre. Trois paires de mains se sont attaquées à la source du problème. Mon épaule tendue a montré une force résistance, qui a fait trembler le reste de mon corps. Mais la supériorité du nombre l'a emporté. En récompense de tous nos efforts, mon épaule s'est enfin relâchée et j'ai redécouvert le sens du mot confort. Je me suis donc couchée sereinement en oubliant ce tourment. Ce matin, en me réveillant, je l'ai reconnue. Entre mes reins, elle est descendu pour détourner tout soupçon. En me levant, je l'ai senti sur mon épaule pour s'y cacher. Je pense qu'elle ne veut plus me quitter. Je crois vraiment qu'il ne me reste plus qu'à la supporter, jamais je n'ai eu mal aussi longtemps pour un simple torticolis. Stop? by Eglantine 23:47 Autour
d'une phrase En le voyant entré, je fus extrêmement surprise. Il n'avait ni la stature, ni l'allure d'un adolescent. Le pas décidé et le visage grave, il ressemblait à un homme sûr de lui. Cependant, certains traits trahissaient son âge, les lignes de son visage n'étaient pas marquées par le sceau de l'expérience. Bien que je lui accordai ses quinze ans d'une vie. Il alliait parfaitement le charme de l'assurance et l'insolence de la beauté. J'imaginais le trouble qui pouvait se lire sur mon visage et repris rapidement mon rôle de maîtresse de maison en accueillant chaleureusement notre hôte. La première impression ne fut pas la seule à me troubler, tout au long du repas, ses regards semblaient constamment dirigées vers moi. Je croyais à une insistance aux raisons inconnues. Impossible. Plus que du trouble, je ressentais également de l'attirance. Je m'efforçais d'ôter cett idée insensée de mon esprit, mais retombais immanquablement sur son regard appuyé. J'accueillais la fin du dîner comme un soulagement. Dans la cuisine, je lavais, rinçais et rangeais, Laurent entra en me demandant s'il pouvait m'aider. Je n'avais besoin d'aucune aide et le renvoyai au salon rejoindre mes enfants. Il ne partit pas tout de suite. Cela me mettait mal à l'aise, je le savais encore debout dans la pièce et je ne savais que faire. Je l'entendis s'approcher doucement de moi. Il plongea son visage dans mes cheveux en inspirant profondément. Vous sentez bon. J'en frissonnais encore quand il quitta la pièce. Il avait quinze ans il était beau et il me voulait. J'avais quarante ans, un mari et deux enfants, et j'allais passer un mois avec cet adolescent capable de me troubler d'un regard. Stop? by Eglantine 00:55 Samedi 6 Décembre 2003 En
contact Habillée de ma combinaison anti-UV, anti-froid, anti-tout, je me suis rendue compte qu'il y avait nettement plus original comme tenue. Des excentricités qui ne passent guère inaperçues. Je les aime, quand elles sont esthétiques. Elles sont signes de différence, donc intéressantes. On my mind. Dans le wagon suivant, une femme blonde face à un homme brun. Tous deux accoudés au rebord. J'ai pensé qu'ils se connaissaient, mais je n'en étais pas sûre ne voyant pas le visage de l'homme et surtout ses yeux. Elle a l'air rêveuse, heureuse ou peut-être juste fatiguée. J'imagine qu'il continue de la regarder. Ils n'échangent pas un seul mot. Il y a des moments qu'on ne souille pas de mots et le métro n'est pas vraiment l'idéal pour les mots d'amour. Alors pendant deux stations, le dialogue de leur stature garde mon attention. Non, ils ne se connaissaient pas finalement. Elle descend à la même station que moi, en le laissant sans un au revoir, un baiser ou un regard. Stop? by Eglantine 23:01 Aujourd'hui, ça gratouille. Stop? by Eglantine 11:48 Vendredi 5 Décembre 2003 Juste
en passant Stop? by Eglantine 16:41 Jeudi 4 Décembre 2003 -
I want you to go away from me ! Stop? by Eglantine 23:21 The
magic touch's left me Stop? by Eglantine 11:55 Mardi 2 Décembre 2003 Plaire
ou ne pas plaire, telle est ma question / stuff J'écris n'importe quoi à 2h du mat. J'ai réussi à faire mon premier gif animé. Hu ! Hu ! A force de me regarder, j'en bave. Là je me dis que si je me couches maintenant, j'aurais vraiment trop de mal à me lever. Mais si je me couches plus tard, j'aurais encore plus de mal à me lever. Et si je ne dormais pas ? Il me faudrait des drogues. Pas ça en magasin. En aucun cas, je ne prends la responsabilité de l'ennui généré par les lignes écrites sur cette page. C'est de votre plein gré que vous vous retrouvez ici. En revanche, je m'excuse pour tous ceux qui tombent ici par hasard. Malheureusement je ne sais pas qui a découvert Vénus et quand. Le seul métrosexuel que je connaisse est Manu. Mon vibromasseur n'est pas à vendre. Je ne sais pas si on peut acheter de la Smirnoff Ice en ligne. Mais si quelqu'un sait, merci de m'envoyer un mail. Je m'exhibe, oui et alors ? Se masturber avec des gants en cuir, ça ne doit pas être très hygiènique. Les problèmes de communication, ça m'arrive régulièrement, le réseau à Bordeaux est vraiment trop pourri. Je n'ai pas d'image de purée de patates, mais j'aimerais bien. Les plaisirs solitaires ont la vertu d'être solitaires. Non, je n'ai pas l'habitude d'être baillonnée. Non, je ne montre pas ma culotte dans le train. Pour acheter des cigarettes moins cher, allez ici. Mais attention : fumer tue, provoque une mort longue et douloureuse, vous rend stérile etc. Dis-moi ce que je dois te pardonner. Hypnotiser des gens pour en faire des esclaves, c'est mal. Je ne sais pas où aller pour assouvir une envie de sexe à Angoulême. Oui, je suis donc je suis. Lécher la transpiration des pieds... beurk ! On voit très peu de baisers lesbiens à la télévision ou au cinéma. Moi aussi je voudrais bien sortir avec elle, c'est qui ? En résumé, Braquage à l'italienne c'est une histoire de braquage. Après avoir perdu ma virginité, je n'ai eu aucun mal à oublier mon ex, moi. Legolas n'est pas un jouet, mais il est effectivement le plus magnifique. Quel est ce phantasme de la masseuse ? Je suis plutôt petite... Ma culotte non plus n'est pas à vendre. Bon, il est temps de dormir non ? Il est temps de dormir. Stop? by Eglantine 02:30 Lundi 1er Décembre 2003 Me
dire parfois... Stop? by Eglantine 00:38
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Ailleurs Avant |